La communication non-sexiste

Table des matières

• Introduction
• Avant de commencer
• Penser la construction des phrases
  1. Utiliser le pluriel
  2. Choisir la (bonne) voix
  3. Utiliser des tournures impersonnelles ou non-marquées
  4. S’adresser directement à la personne à l’aide de la deuxième
     personne du pluriel et/ou de l’impératif
  5. Utiliser des pronoms indéfinis ou des adjectifs indéfinis
• Privilégier un vocabulaire non-sexiste
  1. Favoriser un vocabulaire épicène
  2. Veiller au choix des substantifs et des locutions
  3. Un générique qui n’en est pas un : le mot « homme »
• Choisir de nommer ET les un-e-s ET les autres
  1. À l’oral et à l’écrit : les doublets complets
  2. À l’écrit : les formes tronquées via la ponctuation
  3. Des formes tronquées pour les adjectifs et les participes
     passés?
  4. Combiner les stratégies
• Envisager des logiques inversées
  1. Le féminin générique
  2. La règle de proximité
• Systématiser la féminisation grammaticale
  1. La féminisation systématique : pour ou contre ?
  2. Quand la préfète était la femme du préfet…
  3. Un écrivaine ou une femme écrivain ?
  4. Réhabiliter d’anciens termes : la médicineuse !
  5. Quelques terminaisons problématiques : les masculins
     en «eur»
  6. Gare aux esprits mal tournés
  7. Une dernière polémique : Madame ou Mademoiselle ?
• Vers une nouvelle langue ?
  1. La différence entre le neutre et l’inclusif
  2. Quelques pistes pour une langue inclusive
  3. Récapitulatif des différentes possibilités
• Au–delà de la langue
  1. Encore quelques conseils utiles pour améliorer vos
     communications
  2. Petite mise en pratique autour de l’offre d’emploi
• Conclusion
• Evaluation
• Bibliographie
• Pour aller plus loin

• Contribuer à nouveau à la réflexion autour de la féminisation ou de la neutralisation de la langue française
• Assurer une plus grande visibilité des femmes et des minorités de genre dans notre société